AMO GTB & Energies (Fin-2024)
Certificats d’économies d’énergie (CEE)
BAT-TH-116 (Fin des Bonifications – Juillet 2024) (Fin – Décembre 2024)
– de l’aspect ponctuel à l’aspect régulier annuel
– mono site à multi sites (patrimoine immobilier)
– mais aussi Maitrise Œuvre Fluides ou accompagnement travaux
La solution a toutes les questions ?
De nombreux maîtres d’ouvrage publics ou privés font appel à des prestataires d’études afin de réaliser des audits énergétiques de leur bâtiments. Dans certains cas il s’agit même de pré-audit, donc des « Audits » plus succincts.
La plupart du temps ces audits sont réalisés à partir de relevés sommaires sur site (1/2 à 1 journée). Ils permettent de catégoriser et classifier les bâtiments de façon énergique comme dans le cadre du DPE.
Ils permettent de classifier le bâtiment au niveau énergétique et gaz à effet de serre (GES) avec des classes de A à G. Ils récapitulent les consommations énergétiques globales d’usage.
En parallèle de ces informations les logiciels estiment des coûts et des économies associées en fonction de préconisations standards, comme :
– Le renforcement de l’isolation, horizontale ou verticale, extérieure ou intérieure, singulière …..
– Le remplacement des ouvrants (aluminium, PVC, Bois …..)
– Le remplacement des systèmes de production (chaud, froid, ventilation, ….)
– Le changement de source d’énergie (Bois, Elec-PAC, ….)
– La mise en place de systèmes de pilotage intelligent
– Le changement de type éclairage
– Ce qui produit environ une vingtaine de préconisations standards
Sur chacune de ses préconisations, les logiciels estiment un coût et des économies d’énergie. Ce qui aboutit à un temps de retour ( brut TRB ou actualisé TRA). Le TRA est inférieur au TRB du fait de l’augmentation des coûts de l’énergie. Très souvent les TR correspondent à des amortissements supérieurs à 10 ans donc des TR dit à très long terme. Les TR à court terme inférieurs à 2 ans ou moyen terme inférieur à 5 ans, sont exceptionnels.
A partir de cette vingtaine de préconisations standards, il est établi 3 ou 4 scénarios correspondant à un assemblage cohérant de travaux types. Ils correspondent à des financements croissants et estiment des gains prévisionnels par rapport à des consommations d’usages. Comme ils sont basés sur des préconisations individuelles avec des TR à très long terme il en est forcement de même pour les TR des scénarios (entre 10 à 70 ans).
Suite aux nombreux Audits Energétiques réalisés
Les MO publics & privés se rendent compte qu’en ce qui concerne ces audits, ils rencontrent des problèmes de précisions :
– prix
– économies
Pensant améliorer la situation, ils retiennent des scénarios d’amélioration, et reconsultent en augmentant les calculs et en rechiffrant précisément des prestations.
Tout ceci nécessite des calculs règlementaires complexes, des chiffrages également complexes mais on reste toujours dans des modélisations liées à des calculs règlementaires conventionnels, qui sont indépendant de l’usage.
Chaque usage est spécifique et n’est pas forcement intégré dans le calcul conventionnel règlementaire.
C’est ce que la connaissance de son installation et ses usages corrigent. D’autre part, tout les chiffrages moins onéreux, sont plus difficiles à appréhender et estimer pourtant c’est eux qui aurons un temps de retour (TR) le plus faible.
L’Audit Energétique
Est sans aucun doute la solution idéale pour appréhender une amélioration de l’enveloppe d’un bâtiment, même si la précision est relative, elle reste bonne et est en relation avec le temps passé en modélisation.
Pour l’amélioration des équipements et la performance des installations c’est déjà beaucoup plus compliqué et complexe. Il est peu probable que le temps passé et la connaissance des installations permette d’avoir une vision précise des coûts et des économies.
Il en est de même pour l’usage d’équipement EnR.
Tout ce qui est basé sur des usages hors conventionnels ou spécifiques ainsi qu’a un automatisme un un pilotage des installations en automatique, la méthode n’est pas adaptée. C’est pourquoi ces solutions sont souvent évoquées pour des études ultérieures qui ne sont pas chiffrées ou quantifiées. Pourtant les TR les plus faibles sont souvent dans ses solutions.
(Only in French At this moment)
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